21 novembre 2006
#016
Gentiment je prends une lame, gentiment je l'aiguise
Pendant la nuit je veille en y pensant
Gentiment je pleure sur ton épaule, je te rassure
Gentiment je te sacrifie.
Et là je ne pense qu'une chose, qu'à m'excuser, qu'à dire que non, je ne le pensais pas une seconde.
A dire que oui, ça reviendra. Ca reviendra toujours.
Ou peut-être pas.
La tête me tourne, je ne sais plus où donner de la tête.
Trop.
Trop-plein
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